Roland-Garros – Pourquoi le tennis français a encore des chances avec les juniors

C’est parti pour les tournois juniors ! À partir de ce dimanche, dix-neuf Français de 18 ans ou moins s’attaquent à l’édition 2022. Huit filles, dont Mathilde Ngijol-Carré, le grand espoir de 14 ans qui s’est exporté en Espagne, l’an dernier, pour s’entraîner auprès de Francis Roig (l’un des techniciens de Rafael Nadal), et qui a remporté l’an dernier les Petits As.

Et pas moins de onze garçons, dont Sean Cuenin, l’élève d’Emmanuel Planque, qui a atteint il y a dix jours le dernier tour des qualifs chez les grands et qui, l’an dernier, s’était hissé jusque dans le dernier carré des juniors, aux côtés de ses potes Giovanni Mpetshi-Perricard (demi-finaliste), Arthur Fils (finaliste) et Luca van Assche (vainqueur). Pour Cuenin (603e ATP), c’est une sorte de dernière pige chez les jeunes, où il n’a plus évolué depuis l’US Open 2021. Les trois derniers nommés, eux, ne disputent plus de tournois juniors et sont aujourd’hui classés respectivement 589e, 409e et 381e à l’ATP. Avant de regarder ces quatre-là gagner encore quelques centaines de places au classement des grands, l’heure est venue de s’intéresser à leurs successeurs.

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