PSG-OM : Alvaro Gonzalez sort du silence

«Je n’ai pas parlé (avant) avant pour deux raisons : d’abord parce que les vagues m’ont totalement submergé. Je n’aurais pas pu gagner contre Neymar médiatiquement. Mais aussi parce que le club a parlé avec moi et m’a dit que la justice allait faire son travail.» Dans une interview diffusée sur YouTube, le défenseur olympien Alvaro Gonzalez (30 ans) a donné sa version des faits sur un Classique que certains surnomment déjà le match de la honte.

Alors que les deux intéressés n’ont finalement écopé d’aucune sanction, Alvaro a plaidé le malentendu : «les supporters m’ont dit que j’avais tout leur soutien. J’ai dit la même chose au coach et au président, que s’il le fallait je parte (je le ferai) mais qu’ils sauraient la vérité, que je ne suis pas raciste d’abord et que je ne suis pas coupable ensuite», a-t-il ajouté, semble-t-il très touché par la situation.

Des menaces de mort

Cette dernière, qui avait amplement dégénérée sur le pré avec la distribution de 5 cartons rouges, n’a en effet pas cessée de s’envenimer. Au point que celle-ci s’immisce dans la vie privée du joueur. «Quand on a atterri à Marseille, j’avais 2 millions de messages sur Whatsapp, avec des menaces dans d’autres langues. Je ne comprenais rien. Il y avait des photos de nos voitures, ils disaient qu’ils allaient venir me tuer…», rembobine l’Espagnol marqué.

Et de poursuivre : «il y a aussi eu des messages à mes parents avec leur magasin, qui disaient qu’ils allaient les tuer aussi… J’ai eu peur oui. Cela ne m’était jamais arrivé. C’est très difficile de voir que l’on passe de la personne publique à la personne privée en touchant la famille.»

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