PSG-FC Barcelone : Abdou Diallo a marqué des points

PSG 1 – 1 <a href=FC Barcelone » width= »18″ height= »18″> <a href=FC Barcelone » width= »18″ height= »18″> Barcelone

Le souvenir de la remontada, très peu pour lui. Il l’avait dit, il l’a montré. Abdou Diallo (24 ans) n’a fait preuve d’aucun état d’âme en entrant en jeu après la pause sur la pelouse du Parc des Princes ce mercredi soir face au FC Barcelone (1-1, 8e de finale retour de Ligue des Champions). Le central, aligné latéral gauche, a mordu dans chaque duel et dans chaque ballon avec une envie débordante.

Sur ses dix premières minutes, l’ancien Monégasque a réalisé un sans faute, verrouillant son aile, là où Layvin Kurzawa (28 ans) avait affiché d’énormes difficultés en première période, en plus d’avoir concédé un penalty qui aurait pu coûter très cher aux siens. Il s’est même offert quelques remontées de balle plutôt intéressantes. Son envie a rapidement éteint la volonté de Sergiño Dest (20 ans). Le remplaçant du Néerlandais Francisco Trincão ne l’a pas davantage inquiété.

Pochettino a aimé

Au sortir de la rencontre, le gaucher, symbole de l’impact positif des entrants du soir (Angel Di Maria et Danilo Pereira ont aussi fait du bien en fin de match), a retenu l’essentiel sur le plan collectif. «Après, là, maintenant, on est un petit peu déçu parce que, dans le contenu, on aurait aimé faire beaucoup mieux, dans les sorties de balle, dans les attaques… Mais bon, parfois, on souffre et il faut savoir souffrir et ne pas perdre quand on souffre. C’est ce qu’on va retenir ce soir (mercredi)», a-t-il lancé au micro de PSG TV. Sur le plan individuel, il a marqué des points.

Il suffisait d’entendre Mauricio Pochettino en conférence de presse d’après-match pour s’en convaincre. «C’est ce que l’on attend quand on fait entrer un joueur. Il a eu un gros impact dès les cinq premières minutes de la seconde période. Sa performance a été d’une grande aide pour obtenir ce grand résultat», a souligné le technicien argentin. De quoi rebattre les cartes, à gauche, en attendant le retour de Juan Bernat alors que ni Layvin Kurzawa ni Mitchel Bakker n’affichent autant de garanties défensives que lui ?

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