Open d’Australie (H) – Une enquête sème le doute sur la date du contrôle positif au Covid de Novak Djokovic

Les deux journalistes allemands argumentent leurs conclusions sur deux points très précis. Ils se basent d’abord sur le timestamp, une valeur utilisée en informatique pour représenter un moment précis, que l’on retrouve en scannant le QR code du test, et sur les numéros des tests. Selon le timestamp, qui représente le nombre de secondes qui s’est écoulé depuis le 1er janvier 1970 (début de l’heure UNIX), la date du test positif ne serait pas le 16 décembre mais le 26 décembre. Cette théorie est confortée par le numéro du test positif (n° 7371999) qui serait postérieur à celui du 22 décembre (n° 7320919).

Trois ans de suspension en cas de falsification

Ce nouveau rebondissement, alors que Novak Djokovic est toujours en attente de la décision du ministère de l’immigration qui peut encore l’expulser, aurait l’effet d’une bombe si les faits étaient avérés. L’ATP avait signifié aux joueurs qu’une falsification était synonyme de trois ans de suspension et, vu la gravité de la situation, cela signerait sûrement la fin de carrière de l’homme en course pour devenir le plus grand joueur de tous les temps en tennis.

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