OM : les incidents, Gonzalez règle ses comptes avec la LFP !
Sur la première partie de la saison, l’Olympique de Marseille a été régulièrement concerné par les affaires liées à la recrudescence de la violence dans les stades de Ligue 1. Face à cette situation, le défenseur central phocéen Alvaro Gonzalez a chargé la Ligue de Football Professionnel.
Alvaro Gonzalez est remonté contre la LFP.
Il s’agit de l’immense point noir de cette première partie de saison en Ligue 1 : alors que plusieurs clubs ont affiché un niveau de jeu attractif, les incidents survenus dans les stades ont sérieusement terni l’image du championnat de France.
Parmi les équipes concernées, on retrouve l’Olympique de Marseille. A Nice, Angers et Lyon, le club phocéen a été impliqué dans des débordements.
Gonzalez épingle la LFP…
Bien placé pour donner son avis sur la situation après les récents événements, le défenseur central olympien Alvaro Gonzalez s’est confié lors d’un live organisé sur Twitch par le journaliste espagnol Misterchip. Particulièrement agacé, le joueur de 31 ans a épinglé la Ligue de Football Professionnel, et notamment la Commission de Discipline par rapport aux sanctions infligées depuis le début de cet exercice.
«On ne peut pas mettre tout le monde dans le même sac pour deux bouteilles lancées par deux personnes, mais on peut juger une Ligue parce qu’il faut prendre des décisions pour que cela n’arrive plus. Il y a une photo de moi par exemple devant 300 supporters sur le terrain et finalement j’ai été le plus durement sanctionné. On aurait dû prendre des décisions pour éviter ce qu’il s’est passé ensuite…», a soufflé l’Ibère. Pour rappel, Gonzalez avait écopé de deux matchs de suspension pour son attitude, jugée provocatrice, lors des incidents à Nice avec l’envahissement de la pelouse des fans des Aiglons.
Une plus grande sévérité
Dans sa globalité, le Marseillais a ainsi regretté le manque de sévérité de l’instance, ce qui pénalise sérieusement l’image de la L1 en Europe selon lui. «Je dis toujours que nous sommes acteurs d’un magnifique sport donc on accepte les insultes, même entre joueurs. Une fois que l’arbitre siffle la fin, cela doit rester sur le terrain. Chacun défend ses intérêts sur la pelouse», a-t-il estimé.
«Si ça va plus loin, après un match, sur un corner, cela doit être plus durement sanctionné. Si ce n’est pas le cas et bien tu auras la même chose sur les 7 matchs suivants et on va parler de la France seulement pour les incidents», a terminé Gonzalez. Et jusqu’à maintenant, la L1 a effectivement beaucoup fait parler dans les autres pays avec ces débordements honteux…
Que pensez-vous des propos d’Alvaro Gonzalez sur les incidents en Ligue 1 ?
