Tennis – ATP – Rome – Novak Djokovic, après sa victoire à Rome : « Je ne pouvais rêver mieux avant Roland-Garros »

« Que représente ce succès à Rome après ce qui s’est passé en Australie ?
C’est un soulagement. Après tout ce qui s’est passé au début de l’année, il était important pour moi de gagner un gros titre, surtout avec les Grands Chelems qui approchent et où évidemment je veux jouer de mon mieux et être au niveau de confiance pour avoir une chance de remporter le titre. Historiquement, Rome a toujours été un endroit où j’ai trouvé mon rythme grâce à l’énergie incroyable que la foule dégage sur et en dehors du terrain. Je ne pouvais vraiment pas rêver d’une meilleure semaine. J’ai joué un premier set parfait aujourd’hui (dimanche). Je n’ai pas perdu de manche de tout le tournoi.

J’ai vraiment fait confiance au processus quand j’ai commencé à m’entraîner sur terre battue. Même si j’étais rouillé avant Monte-Carlo, je savais que je suis un joueur, surtout sur terre battue, qui a besoin de plus de temps, au moins trois, quatre semaines pour arriver au niveau souhaité. Historiquement, cela a toujours été le cas. Et tout ce que je cherchais vraiment ici à Rome, je l’ai eu. C’est le type parfait de préparation et d’approche avant Roland-Garros. Oui, je ne pouvais vraiment pas rêver mieux. Je vais à Paris avec définitivement la confiance et de bonnes sensations quant à mes chances là-bas.

« Avec mon classement et la façon dont j’ai joué ces dernières semaines, je me considérerais comme l’un des favoris »

Comment évaluez-vous vos chances à Roland Garros ?
Avec mon classement et la façon dont j’ai joué ces dernières semaines, je me considérerais comme l’un des favoris. Je ne passe évidemment pas trop de temps à réfléchir à qui va gagner ou qui pourrait avoir la meilleure chance. Je pense toujours à moi. J’y vais avec les plus hautes ambitions. Évidemment, le tirage au sort va compter. Un Grand Chelem, en cinq sets et en jouant tous les deux jours, c’est différent. Les Grands Chelems s’abordent et se jouent différemment.

Pourriez-vous quantifier à quel point vous avez élevé votre niveau depuis la défaite contre Carlos Alcaraz la semaine dernière à Madrid ?
J’ai bien joué aussi à Madrid. Il méritait de gagner, mais j’étais satisfait du niveau auquel je jouais. Je savais en venant ici à Rome que j’avais juste besoin de suivre la trajectoire et que ça finirait par venir. Lors des séances d’entraînement, je frappais vraiment la balle proprement. Lors de l’Open de Serbie, j’ai vraiment travaillé physiquement. À Madrid, mes performances n’étaient peut-être pas aussi nettes dans les moments décisifs. Et ici, tout a « cliqué ».

Pensiez-vous que cela pourrait prendre plus de temps après ce qui s’est passé à Melbourne ? Et pensez-vous que cela vous rendra plus fort ?
J’essaie toujours d’utiliser ce genre de situations et l’adversité pour me motiver pour le prochain défi. Je pense mentalement à ce qui va suivre et je tourne la page suivante. C’est quelque chose que je n’ai jamais affronté auparavant. Mais je sens que c’est déjà derrière moi. Je me sens bien sur le court. Mentalement aussi. Je suis frais. Je suis vif. »

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