Real Madrid : la réaction désabusée de Carlo Ancelotti après la gifle reçue face au Barça

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Carlo Ancelotti assume. Ce dimanche, le monde du football a assisté à la débâcle du Real Madrid à domicile contre le FC Barcelone (0-4), dans le cadre de la 29ème journée de Liga. Les hommes de Xavi se sont en effet amusés au Santiago-Bernabéu, face à des Merengues méconnaissables et trop fébriles, souffrant beaucoup trop de l’absence de leur capitaine et leader technique Karim Benzema.

Le technicien italien se retrouve forcément au centre des critiques, notamment pour la gestion discutable de ce choc en Espagne, pour lequel il avait décidé de délaisser son habituel 4-3-3 au profit d’un 4-4-2 sans véritable numéro neuf. Rôle que Luka Modric a tenté d’assurer tant bien que mal. En conférence de presse d’après-match, l’ancien entraîneur du PSG ne s’est pas caché, expliquant endosser l’entière responsabilité de cette contre-performance.

« C’est de ma faute »

« Le début était bon mais après le premier but, on a perdu le contrôle, ils ont trouvé de l’espace et ils nous ont fait mal », a dans un premier temps confié le Mister. « Avec Modric en attaque, nous voulions avoir plus le ballon, mais ça n’a pas marché. Ce qui m’a fait le plus mal ? On a été méconnaissables. Barcelone a été meilleur que nous. C’est de ma faute, je suis désolé pour les fans car c’était le Clasico. Tout s’est mal passé. En seconde mi-temps on a changé des choses mais ça n’a pas marché non plus. C’est de ma faute. »

Et Carlo Ancelotti de marteler. « C’est ma faute et je n’ai aucun problème à le dire. C’est ma faute. » Le coach de la Casa Blanca a tout de même souhaité conclure son passage devant les médias par une note positive. « C’est dur parce que c’est un Clásico. C’est un coup dur, on a perdu une bataille. Nous sommes très tristes mais nous avons toujours un avantage sur Séville. Il faut être calme et serein, récupérer les blessés. On n’a pas besoin de faire tout un drame avec ce match. » Reste à savoir si les supporters partagent la même vision des choses que leur entraîneur, qui va pouvoir cogiter pendant la première trêve internationale de l’année civile.

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