Open d’Australie (F) – Danielle Collins à propos d’Alizé Cornet avant leur quart de finale à l’Open d’Australie : « Une personne incroyable pour notre sport »

Avant le quart de finale de l’Open d’Australie qui l’opposera à Alizé Cornet à Melbourne, dans la nuit de mardi à mercredi, l’Américaine Danielle Collins (28 ans, 30e mondiale) s’est montrée dithyrambique envers son adversaire.

À propos d’Alizé Cornet : « Nous pouvons apprécier la force et la ténacité de l’autre »

La Française l’a décrit comme un lion sur le terrain, déclarant notamment : « Je suis intense mais Danielle l’est encore plus. »

« Même si nous sommes toutes les deux concurrentes, je pense que nous pouvons apprécier la force et la ténacité de l’autre. Donc, oui, c’était très gentil de sa part. Alizé est une joueuse et une personne incroyable pour notre sport. Je pense que son travail acharné ressort vraiment chaque fois qu’elle joue sur un court. Je l’apprécie beaucoup. »

À propos de son tournoi : « Tu dois en quelque sorte traverser la tempête »

En huitièmes de finale, l’Américaine était menée 6-4, 4-2 par Clara Tauson, puis elle a dû batailler dans l’extrême chaleur de Melbourne pour éliminer Elise Mertens (4-6, 6-4, 6-4).

« Pour réussir dans ce genre d’événements, tu dois en quelque sorte traverser la tempête. Parfois, vous jouez votre meilleur tennis. Parfois, vous perdez votre rythme. Parfois, vous avez affaire à des petites douleurs pénibles. J’essaie juste de m’en sortir le mieux possible. J’adore regarder le surf professionnel et j’admire vraiment ce qu’ils font, comment ils montent sur la planche, comment ils gèrent tous les éléments, donc j’utilise beaucoup cela pour m’aider mentalement. Et il n’y a certainement rien de plus approprié que de parler surf en Australie. »

À propos de son opération : « On apprend beaucoup mentalement de ce genre d’épreuves »

Collins a subi une intervention chirurgicale en avril 2021 pour l’endométriose, un trouble qui peut causer une douleur intense pendant les cycles menstruels d’une femme.

« Avant cette intervention, je devais toujours ajuster mon entraînement en fonction de mon cycle, à cause de la douleur de mes règles. Désormais, les choses étant plus cohérentes, je suis capable de mieux m’entraîner et de ne pas avoir à subir des problèmes pendant la semaine de mon cycle. Et on apprend beaucoup mentalement de ce genre d’épreuves. »

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