Mercato : le Bayern ne veut plus de ses milieux français

Si Kingsley Coman a la cote au Bayern Munich, ce n’est pas le cas de ses partenaires français de l’entrejeu. Que ce soit Corentin Tolisso ou Michaël Cuisance, prêté à l’Olympique de Marseille, le club allemand ne souhaite pas conserver ses Tricolores dans l’entrejeu.

Le Bayern ne retient pas Tolisso.

La cote des joueurs français n’est clairement pas au plus haut du côté du Bayern Munich. Si Kingsley Coman garde l’entière confiance de ses dirigeants, si Lucas Hernandez est enfin installé et qu’il va rapidement profiter du départ de David Alaba, les autres natifs de l’Hexagone ont un peu plus de mal. C’est notamment le cas des deux latéraux droits, Benjamin Pavard et Bouna Sarr, mais aussi et surtout des milieux.

Tolisso sur le marché

Malgré un temps de jeu intéressant (1101 minutes), Corentin Tolisso (26 ans) n’est pas jugé indispensable par Hans-Dieter Flick, qui préfère miser sur sa doublette formée par Joshua Kimmich et Leon Goretzka lors des matchs importants. Avec la conjoncture économique actuelle, le club allemand, qui a assuré ses arrières avec les recrutements de Tanguy Kouassi (18 ans) et Marc Roca (24 ans), réfléchit d’ailleurs à se séparer du champion du monde tricolore.

En effet, Bild nous apprend que les décideurs bavarois ne souhaitent pas prolonger le contrat de l’ancien Lyonnais. Celui-ci expire en juin 2022. Autrement dit, Tolisso se retrouve d’ores et déjà sur le marché et un départ semble inévitable. S’il n’a pas lieu cet hiver, il y a fort à parier qu’il sera programmé à l’issue de la saison. Recruté pour 47 millions d’euros, bonus compris, le Bleu pourrait être disponible pour deux fois moins, alors que l’Inter Milan fait partie des équipes intéressées.

Le Bayern compte sur l’OM pour Cuisance

Michaël Cuisance (21 ans) est lui aussi dans un cas à peu près similaire. Prêté à l’Olympique de Marseille, le milieu alsacien peine à trouver ses marques dans le dispositif d’André Villas-Boas. Malgré cette première partie de saison poussive, le Bayern espère que la formation phocéenne fera le nécessaire pour lever l’option d’achat de 18 millions d’euros fixée dans son contrat. Un souhait qui, à l’heure actuelle, semble difficile à envisager. A moins d’un réveil toujours possible lors de la seconde moitié de saison. Dans un cas comme dans l’autre, leur avenir en Bavière s’inscrit en pointillés…

Quel avenir pour Tolisso et Cuisance ?

Source

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.