Djokovic après sa qualification pour le 3e tour de Roland-Garros : « Un Grand Chelem sans drama, ce n’est pas possible pour moi »
« N’avez-vous pas envie de vivre un tournoi du Grand Chelem sans drama ? Et ne pensez-vous pas que votre intervention sur le Kosovo ne nuise à cet espoir de tranquillité ?
Je ne regrette pas de l’avoir fait. Vous avez ma citation si vous voulez encore en parler. Je sais que beaucoup de gens ne sont pas d’accord avec moi, mais c’est comme ça. C’est tout. Un Grand Chelem sans drama, je ne pense pas que ce soit possible pour moi.
Que pensez-vous de l’intervention du Ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera qui a parlé d’une intervention inappropriée de votre part ? Et en avez-vous parlé avec Amélie Mauresmo, la directrice du tournoi ?
Je ne ferai pas plus de commentaires sur ce sujet.
On vous a vu changer quelque chose sous votre tee-shirt (une sorte de patch métallique) pendant le match…
Quand j’étais enfant, j’étais fan d’Iron Man, j’essaie de l’imiter. Mon équipe me fournit un système de nanotechnologie qui me permet de donner le meilleur de moi-même sur le court. C’est le grand secret de ma carrière.
On vous a senti particulièrement nerveux durant le premier set. Pourquoi ?
Si je ne suis pas nerveux sur le court, c’est qu’il y a deux raisons pour ça. Soit je suis en pleine confiance sur le court, soit j’en ai rien à faire. La nervosité fait partie de mon métier. Parfois je l’exprime plus. Parfois je dialogue avec moi, parfois je communique avec mon équipe. Le plus important, c’est que quoi qu’il arrive, il faut arriver à se recentrer et aller dans la bonne direction. »
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