Manchester City : Ruben Dias, l’homme qui valait 70 M€, n’a peur de rien

Manchester City s’est encore offert des défenseurs centraux à prix d’or cet été. Nathan Aké est arrivé de Bournemouth contre un chèque de 45 M€. Surtout, Ruben Dias a débarqué en provenance de Benfica contre un chèque de 71 M€ bonus inclus. Forcément très attendu, le défenseur central portugais, titulaire à deux reprises en Premier League sous ses nouvelles couleurs contre Leeds (1-1) et Arsenal (1-0), est apparu face à la presse ce mardi, en conférence de presse, à la veille de la réception du FC Porto (1ère journée de la phase de poules de Ligue des Champions).

«Le groupe m’a très bien accueilli. Je suis vraiment content d’être ici et d’avoir l’opportunité de jouer cette compétition pour un club comme City. C’est évidemment l’une des raisons pour lesquelles je suis venu, pour le club, pour la façon dont il joue et pour son envie de gagner, particulièrement la Ligue des Champions», a-t-il d’abord lancé avant d’évoquer ses ambitions personnelles. «Je veux être le plus complet possible dans tous les compartiments du jeu. Je fais de mon mieux. Je vais continuer comme ça. Évidemment, cela aide d’avoir les bonnes personnes autour de soi pour apprendre, et de la bonne façon».

La force tranquille

Malgré le prix de son transfert, l’international lusitanien (22 sélections) ne se met pas de pression particulière chez les Citizens. «À Benfica, nous jouions aussi toujours pour gagner, ici, c’est la même chose. L’objectif est toujours de gagner. C’est simplement le contexte qui est différent, avec le niveau supérieur du championnat et la qualité incroyable de l’effectif ici présent. La pression est encore plus élevée. C’est pour cela que je suis venu», a lâché l’ancien capitaine du SLB, voyant son arrivée chez les Skyblues comme une nouvelle étape dans sa progression.

«J’ai eu la pression quand j’étais jeune. J’ai eu la pression quand j’ai intégré l’équipe première de Benfica. J’ai eu la pression quand j’ai démarré en sélection nationale et maintenant, j’ai la pression à nouveau. C’est le football. Plus tu grandis, plus la pression est grande. J’aime ça. C’est très bien. J’ai travaillé toute ma vie pour être maître de mon destin, pour me discipliner, pour travailler là où j’avais envie d’être. Tout le reste vient naturellement. Je vais continuer à travailler comme je le fais. Le reste viendra tranquillement», a-t-il conclu. Pep Guardiola n’attend que ça.

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